Plate-forme avec toboggan
Publié : 09 juil. 2018, 14:18
Ce projet consiste à fabriquer une plate-forme en Douglas, assemblée autour d'un arbre.
On monte d'un côté par une échelle, et on descend du côté opposé par un toboggan.
Le bois employé ici a précédemment servi à construire un echafaudage dans un escalier.
Bien qu'étant informaticien, pour mes plans et fiches de débit, la bonne vieille méthode papier-crayon-gomme me suffit.
Pour les poteaux, qui excèdent la longueur maximale de rabotage sur mon établi, j'ai été obligé de fabriquer les rallonges dont j'ai parlé ici.
Conformément à mes habitudes, tout le travail est effectué uniquement à la main, donc pour les mortaises j'utilise maillet et ciseaux.
Les tenons sont réalisés à la scie à dos.
Plutôt que de fabriquer un garde-corps avec des barreaux verticaux, ce qui donnerait un aspect de cage, j'ai préféré utiliser des panneaux horizontaux en volige.
Les rainures, dans lesquelles seront glissés ces panneaux, sont effectuées avec un Stanley n°45.
Problème technique... Pour les montants intermédiaires, comme sur la photo précédente, le n°45 convient bien, car la rainure est à faire sur toute la longueur de l'élément.
Mais pour les poteaux, les rainures doivent s'arrêter aux mortaises...
Et sur la photo ci-dessous, on voit bien que l'avant du n°45 va au delà de la mortaise, et rend impossible son emploi.
La solution, c'est de passer à la guimbarde Stanley n° 71 1/2 !
Cet outil sert habituellement à égaliser le fond des entailles, mais en lui affectant un guide parallèle, il va permettre de creuser les rainures en s'arrêtant aux mortaises.
Ici, c'est le rabotage des panneaux. Et sur 20 cm de large, ça en fait des copeaux !
Au fur et à mesure, chaque panneau est ajusté à sa rainure, ça permet de voir à quoi va ressembler le garde-corps.
On monte d'un côté par une échelle, et on descend du côté opposé par un toboggan.
Le bois employé ici a précédemment servi à construire un echafaudage dans un escalier.
Bien qu'étant informaticien, pour mes plans et fiches de débit, la bonne vieille méthode papier-crayon-gomme me suffit.
Pour les poteaux, qui excèdent la longueur maximale de rabotage sur mon établi, j'ai été obligé de fabriquer les rallonges dont j'ai parlé ici.
Conformément à mes habitudes, tout le travail est effectué uniquement à la main, donc pour les mortaises j'utilise maillet et ciseaux.
Les tenons sont réalisés à la scie à dos.
Plutôt que de fabriquer un garde-corps avec des barreaux verticaux, ce qui donnerait un aspect de cage, j'ai préféré utiliser des panneaux horizontaux en volige.
Les rainures, dans lesquelles seront glissés ces panneaux, sont effectuées avec un Stanley n°45.
Problème technique... Pour les montants intermédiaires, comme sur la photo précédente, le n°45 convient bien, car la rainure est à faire sur toute la longueur de l'élément.
Mais pour les poteaux, les rainures doivent s'arrêter aux mortaises...
Et sur la photo ci-dessous, on voit bien que l'avant du n°45 va au delà de la mortaise, et rend impossible son emploi.
La solution, c'est de passer à la guimbarde Stanley n° 71 1/2 !
Cet outil sert habituellement à égaliser le fond des entailles, mais en lui affectant un guide parallèle, il va permettre de creuser les rainures en s'arrêtant aux mortaises.
Ici, c'est le rabotage des panneaux. Et sur 20 cm de large, ça en fait des copeaux !
Au fur et à mesure, chaque panneau est ajusté à sa rainure, ça permet de voir à quoi va ressembler le garde-corps.