Oui, encore faut-il rester raisonnable dans la notion de vente "à perte".BZHades a écrit :TRD a effectivement raison sur le coté "affectif" du matériel. Il est difficile de se dire qu'on va revendre un matériel acheté sans doute très cher à l'époque, qui nous a rendu bien de services, qu'on a parfois amélioré ou réglé avec amour... et qu'on va le revendre à "perte". Mais c'est malgré tout la réalité.
En entreprise, il existe la règle de de l'amortissement, qui quantifie la perte de valeur qu'un bien matériel quelconque va subir au cours du temps. Ce qui ne veut pas dire qu'un bien amorti au plan comptable (valeur résiduelle égale à zéro), il ne soit plus possible techniquement de s'en servir et donc qu'il conserve une valeur d'usage. Avec des nuances, ça devrait être la même chose, au moins sur le principe, pour des particuliers.
Après, pour des bien rares (produits à peu d'exemplaires ou plus fabriqués), et bien c'est la loi de l'offre et de la demande qui fait les prix du marché, rien que du classique.
Nos chères machines, combinés Kity ou autres, ne font que suivre cette loi comme quasiment tous les biens. On n'a pas vraiment les moyens de lutter, donc il faut s'y adapter au mieux du possible ... et n'acheter qu'en privilégiant le besoin sur l'envie.
--Michel--